2 Feb 2018
L' Auditorium Theo Angelopoulos | |
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19:00 - 21:30 |
Le féminin et ses figures subversives dans l’antiquité grecque - Première Session -- Greek Language
La Société d’études de la culture néo-hellénique et de l’enseignement général et l’Institut français de Grèce nous invitent à une relecture des mythes et textes grecs anciens autour de grandes figures féminines emblématiques qui ont encore beaucoup à nous apprendre sur nos propres archétypes. Le régime démocratique dans la Grèce antique n’octroyait de fait aucun droit civique aux femmes. Seule la fonction de procréation leur était reconnue. Cependant quelques femmes audacieuses, comme Xanthippe, l’épouse de Socrate, la poétesse Sappho, osèrent remettre en cause cet ordre établi. Des poètes tragiques, notamment Euripide, mais aussi des auteurs de contes populaires permirent d’explorer les différentes modalités – inconscientes – de la pensée féminine de cette époque. Celles-ci sous-tendent encore aujourd’hui de façon prégnante notre relation au féminin. À travers diverses figures féminines de l’Antiquité grecque, provenant des représentations mythologiques, littéraires et picturales (comme Lysistrate, Médée, Agavé, Iphigénie, Pasiphaé, Psyché, Xanthippe, Jocaste), les fondements de nos paradigmes occidentaux ont été remis en question. Au-delà des mythes, cet éclairage permet de poser des questions nouvelles au sujet de la sexualité, du pulsionnel, de la mort, de l’altérité. Mettant leurs pas dans ceux des auteurs de l’Antiquité, psychanalystes et hellénistes nous font part de leurs interprétations des textes. |
Le féminin et ses figures subversives dans l’antiquité grecque - Première Session -- French Language
La Société d’études de la culture néo-hellénique et de l’enseignement général et l’Institut français de Grèce nous invitent à une relecture des mythes et textes grecs anciens autour de grandes figures féminines emblématiques qui ont encore beaucoup à nous apprendre sur nos propres archétypes. Le régime démocratique dans la Grèce antique n’octroyait de fait aucun droit civique aux femmes. Seule la fonction de procréation leur était reconnue. Cependant quelques femmes audacieuses, comme Xanthippe, l’épouse de Socrate, la poétesse Sappho, osèrent remettre en cause cet ordre établi. Des poètes tragiques, notamment Euripide, mais aussi des auteurs de contes populaires permirent d’explorer les différentes modalités – inconscientes – de la pensée féminine de cette époque. Celles-ci sous-tendent encore aujourd’hui de façon prégnante notre relation au féminin. À travers diverses figures féminines de l’Antiquité grecque, provenant des représentations mythologiques, littéraires et picturales (comme Lysistrate, Médée, Agavé, Iphigénie, Pasiphaé, Psyché, Xanthippe, Jocaste), les fondements de nos paradigmes occidentaux ont été remis en question. Au-delà des mythes, cet éclairage permet de poser des questions nouvelles au sujet de la sexualité, du pulsionnel, de la mort, de l’altérité. Mettant leurs pas dans ceux des auteurs de l’Antiquité, psychanalystes et hellénistes nous font part de leurs interprétations des textes. |
3 Feb 2018
L' Auditorium Theo Angelopoulos | |
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10:30 - 13:00 |
Le féminin et ses figures subversives dans l’antiquité grecque - Deuxième Session -- Greek Language
La Société d’études de la culture néo-hellénique et de l’enseignement général et l’Institut français de Grèce nous invitent à une relecture des mythes et textes grecs anciens autour de grandes figures féminines emblématiques qui ont encore beaucoup à nous apprendre sur nos propres archétypes. Le régime démocratique dans la Grèce antique n’octroyait de fait aucun droit civique aux femmes. Seule la fonction de procréation leur était reconnue. Cependant quelques femmes audacieuses, comme Xanthippe, l’épouse de Socrate, la poétesse Sappho, osèrent remettre en cause cet ordre établi. Des poètes tragiques, notamment Euripide, mais aussi des auteurs de contes populaires permirent d’explorer les différentes modalités – inconscientes – de la pensée féminine de cette époque. Celles-ci sous-tendent encore aujourd’hui de façon prégnante notre relation au féminin. À travers diverses figures féminines de l’Antiquité grecque, provenant des représentations mythologiques, littéraires et picturales (comme Lysistrate, Médée, Agavé, Iphigénie, Pasiphaé, Psyché, Xanthippe, Jocaste), les fondements de nos paradigmes occidentaux ont été remis en question. Au-delà des mythes, cet éclairage permet de poser des questions nouvelles au sujet de la sexualité, du pulsionnel, de la mort, de l’altérité. Mettant leurs pas dans ceux des auteurs de l’Antiquité, psychanalystes et hellénistes nous font part de leurs interprétations des textes. |
Le féminin et ses figures subversives dans l’antiquité grecque - Deuxième Session -- French Language
La Société d’études de la culture néo-hellénique et de l’enseignement général et l’Institut français de Grèce nous invitent à une relecture des mythes et textes grecs anciens autour de grandes figures féminines emblématiques qui ont encore beaucoup à nous apprendre sur nos propres archétypes. Le régime démocratique dans la Grèce antique n’octroyait de fait aucun droit civique aux femmes. Seule la fonction de procréation leur était reconnue. Cependant quelques femmes audacieuses, comme Xanthippe, l’épouse de Socrate, la poétesse Sappho, osèrent remettre en cause cet ordre établi. Des poètes tragiques, notamment Euripide, mais aussi des auteurs de contes populaires permirent d’explorer les différentes modalités – inconscientes – de la pensée féminine de cette époque. Celles-ci sous-tendent encore aujourd’hui de façon prégnante notre relation au féminin. À travers diverses figures féminines de l’Antiquité grecque, provenant des représentations mythologiques, littéraires et picturales (comme Lysistrate, Médée, Agavé, Iphigénie, Pasiphaé, Psyché, Xanthippe, Jocaste), les fondements de nos paradigmes occidentaux ont été remis en question. Au-delà des mythes, cet éclairage permet de poser des questions nouvelles au sujet de la sexualité, du pulsionnel, de la mort, de l’altérité. Mettant leurs pas dans ceux des auteurs de l’Antiquité, psychanalystes et hellénistes nous font part de leurs interprétations des textes. |