Pour cette séance inaugurale du cycle « Genre et migration» de l'Institut français de Grèce, nous avons demandé à cinq journalistes et documentaristes grecs et français de nous parler de leur expérience de terrain et de leur perception de leur travail.
Les migrations sont au cœur des colonnes des journaux français comme grecs, tantôt sous l'angle du drame humanitaire qui se joue aux frontières de l'Europe, tantôt comme objet de débats et de politiques publiques nationales et européennes.
Peut-être plus que pour tout autre sujet, les mots sont importants quand on parle des migrations : raconter les frontières, c'est engager son lecteur ou son auditeur dans un espace où se jouent des vies humaines, que le journaliste ou le documentariste a pour mission de restituer de la manière la plus fidèle possible, sans toujours savoir quelles suites médiatiques ou politiques seront réservées aux images, aux voix, aux témoignages qu'il recueille.
Pour cette séance inaugurale du cycle « Genre et migration» de l'Institut français de Grèce, nous avons demandé à cinq journalistes et documentaristes grecs et français de nous parler de leur expérience de terrain et de leur perception de leur travail.
Avec la participation de la documentariste Irène Omelianenko et des journalistes Marianna Karakoulaki, Marina Rafenberg et Stavros Malichoudis.
Modérateur : Fabien Perrier
Traduction simultanée