Depuis Freud, l’enfant symbole d’innocence et de pureté en a pris un coup. Du pervers polymorphe aux enfants soldats, voire la violence à l’école, les enfants nous montrent qu’ils tentent de faire quelque chose avec ce qui les envahit et dont, bien souvent, ils ont du mal à parler.
La violence, qu’elle soit faite à l’autre ou à soi-même, est une réponse d’un éprouvé du corps qui ne peut en passer par les mots. Là où le symbolique fait défaut, c’est parfois le passage à l’acte qui fait réponse. Réponse de quoi ?